A un moment de notre histoire, l’ail était tellement précieux qu’on pouvait recevoir une partie de son salaire en ail.
Aujourd’hui, on la remarque à peine, cette petite gousse qui traîne au fond de nos placards…
Et pourtant : s’il n’y avait qu’une plante à garder dans la cuisine de l’herboriste, ce serait elle. Sans hésiter !
Le pourquoi et le comment, c’est par ici…